Né à Sedan, ville où est né Arthur Rimbaud, il est un peintre qui a créé son propre univers particulier le long de ses innombrables voyages autour de la terre. Fils d’un sculpteur et fondeur espagnol basque, et d’une mère pragmatique luxembourgeoise pensant que l’art dans sa globalité ne sert à rien, notre artiste continua tout de même à suivre son propre chemin.

Il fait sa première exposition à l’âge de treize ans à Toulouse. Amoureux de l’Espagne, il rencontra une très belle Jerezana, danseuse de flamenco qui lui fît découvrir sa terre natale. Conquis par cette culture et la belle danseuse, il décide de s’installer dans ce pays. Ils s’installent à Ibiza avec sa compagne, et crée son atelier de peinture.

Invité à la fondation Abades de Séville, il expose trente-trois toiles sur le thème de la tauromachie qui remporta un franc succès. La télévision et la presse espagnole sont présentes pour couvrir cet événement.

En 1995, l’académie des arts et de l’esthétisme russe l’invite pour l’organisation d’une exposition dans l’Oural.

Il réalisera des fresques pour une loge maçonnique et quelques tableaux, dont un sera sacralisé par l’église du Vatican, il se trouve maintenant à Rome.

Quelques collectionneurs d’arts à travers le monde ont agrandi leurs collections avec des toiles de Jean-François San Roman.

Le sculpteur César lui confiera le travail de dix estampes sur métal repoussé. Le sculpteur Maxime Siffredi lui demanda d’habiller une sculpture de pierres précieuses, pierre dure rehaussée d’argent, car notre artiste est aussi lapidaire et joaillier. Les joailliers comme Cartier, Van Cleef et Arpels, Chaumet, Morabito, Mauboussin et d’autres connus ont fait appel à son travail de lapidaire. Parallèlement, il se consacre à l’écriture et en est à son septième livre.

« Ses livres vous font voyager dans la connaissance et le temps dont le but essentiel est de nous ouvrir les portes de la félicité »