Né en 1971, peintre autodidacte depuis ses 15 ans, Yann Argentin est avant tout peintre figuratif, c’est tout naturellement qu’il est venu à la peinture. 

Le traitement de la lumière, est pour cet artiste l’objectif principal. Citadin, Il opte pour des paysages urbains qui lui offrent un terrain de jeu sans limite pour mettre en scène les variations de lumières qu’elles soient naturelles ou artificielles. Son travail en immersion dans un espace matérialiste et moderne conduit à une certaine poésie. Il adapte également les effets de la double exposition, technique de la photographie à sa peinture, un moyen pour lui d’emmener le spectateur dans des rêves muets. Un Travail à l’huile réalisé dans le frais au couteau et au pinceau sur des formats principalement carrés.

Pendant plusieurs années, Yann Argentin a peint des paysages, avant de se décider, dans un souci de « lâcher prise » à accrocher directement ses toiles au mur.

La spontanéité devient alors son maître mot.


Il utilise en plus des traditionnels pinceaux des outils divers et variés : rouleaux, spatules, grands couteaux. Il abandonne les petits tableaux pour de plus grands formats. Le traitement de la lumière, dont il a une certaine sensibilité, devient son objectif principal et ce pour retranscrire ses émotions avec authenticité, sans faux semblants. Il opte pour des paysages urbains et des scènes de vie intimistes. Ces sujets offrent un terrain de jeu sans limite pour mettre en scène les variations de lumières naturelles ou artificielles.
Son travail influencé par la photographie de cinéma et par des artistes tel que le peintre américain Hopper, nous offre une immersion dans un espace matérialiste et moderne où les atmosphères conduisent aux rêves muets, à une poésie urbaine.